Success stories / Projets

SOMMAIRE

Meniscare

Ce projet est porté par le laboratoire LiPhy de l’Université Grenoble Alpes. Il vise à modifier la pratique clinique : Un outil d’aide à la décision permettra de proposer une technologie innovante de thérapie cellulaire aux patients. ACS Biotech va explorer l’implantation de matrices de chitosan renfermant des cellules de fibrocartilage pour la régénération tissulaire

PROSBOT

Ce projet rentre dans la thématique des Gestes Médico-Chirurgicaux Assistés par Ordinateur et relève du domaine du cancer de la prostate. Le cancer de la prostate (CaP) est le cancer masculin le plus fréquent avec 60.000 nouveaux cas chaque année en France, et 9.000 décès . Son incidence est en augmentation depuis 20 ans, due

ROBACUS

Introduire sous contrôle du scanner X une aiguille dans un patient vers une cible précise en évitant des obstacles est un enjeu majeur (plus de 600 000 actes/an aux USA), diagnostique et thérapeutique (destruction de tumeurs, drainage d’abcès, …). Dans plus de 10% des cas, la cible ne peut être atteinte, et il faut trop

DEPORRA 2

La prise en charge chirurgicale laparoscopique du cancer de la prostate (une des 1ères causes de mortalité chez l’homme) est actuellement en pleine mutation, du fait de l’introduction, sur site opératoire, du robot da Vinci ou du robot porte endoscope ViKY. Cependant, les procédures assistées par robot n’exploitent pas encore, en per-opératoire, les imageries ultrasonores

FOCUS

Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l’homme, avant celui du poumon ou du cancer colorectal. Bien que l’amélioration constante des outils de diagnostic du cancer de la prostate permette aujourd’hui de détecter de petites tumeurs très localisées à un stade précoce, la recherche de solutions pour améliorer le traitement

CTNAVII

La tomodensitométrie est utilisée en pratique courante pour la réalisation de nombreux gestes percutanés. La station de navigation marquée CE, développée par la société IMACTIS, permet d’obtenir, à partir des données d’acquisition du scanner, une vision 3D de l’anatomie du patient et de superposer sur celle-ci, en temps réel, le trajet de l’aiguille de ponction.